C'était notre ambition en créant Possible Future en 2016. Aujourd'hui, nos start-ups apportent des expertises spécifiques pour nos projets d'innovations et nos clients corporates, tandis que les expertises du Bureau d'Innovation viennent appuyer et enrichir nos start-ups. Possible Ventures, c'est un start-up studio qui conjugue le talent de ses fondateurs, la force de frappe de ses grands groupes partenaires et nos expertises en innovation.
Chez Possible Ventures, nous réunissons nos talentueux fondateurs et nos grands groupes partenaires autour d'idées de startup que nous avons préalablement dérisquées grâce à notre méthodologie d'innovation. La bonne idée, la bonne équipe : l'aventure peut commencer !
Nous mettons à profit tout notre réseau et notre savoir-faire pour que nos start-ups ne se concentrent que sur ce qui a le plus de valeur : leur produit et leur développement.
Thomas a passé 16 ans dans des cabinets de conseil (américain, indien et français) sur des projets de transformation digitale de grandes entreprises avant de rejoindre la boîte de ses rêves: un endroit où l’on pense et où l’on fait, avec l’ambition d’un impact positif sur l’économie et des gens brillants et bienveillants – surtout un endroit qui lui procurerait les 2h de rires dont il a besoin chaque jour. Thomas applique la méthodologie même à la maison, où il s’impose de systématiquement tester tout ce qu’il propose à ses deux jeunes enfants (aliment, activité, jeu, sport).
Michael est diplômé de Centrale Paris avec une majeure en informatique et entrepreneuriat. Initialement, il se destinait à faire de la physique appliquée en labo, mais il se rend rapidement compte de son goût prononcé pour la collaboration et le lancement de projet, et rejoint Prynt, une startup tech basée à San Francisco. A sa sortie de l’école, il crée Plast’if : une startup qui vise à « sensibiliser et fédérer les employés autour du recyclage du plastique ». Pour Michael, l’aventure Possible Future c’est l’attrait d’une organisation humaine qui se repense sans arrêt, et l’équilibre rêvé entre réflexion stratégique et action.
Ariane a enchaîné une école d’ingénieur avec 5 ans de conseil en stratégie digitale, d’où elle tire son super-pouvoir: trouver les meilleurs business models pour rendre viable nos projets de start-ups. Chez Possible Future, elle aime l’exigence intellectuelle et opérationnelle, aller de l’analyse stratégique à l’exécution d’une solution. Pendant ses vacances, Ariane se transforme en baroudeuse: 15 jours à explorer l’Iran et le Turkménistan seule en logeant chez l’habitant, une semaine au Pole Nord. Une journée de vent? Vous la trouverez sur les plages du nord entre deux sessions de kitesurf.
Avant de nous rejoindre, Noël a collaboré pendant près de 10 ans avec de nombreuses agences et startups (Deezer, Viadeo, Lunchr, BlaBlaCar etc.) en tant que Designer UX/UI. Il a d’ailleurs sorti son premier site internet à 12 ans (même si on parlait plutôt de page web à l’époque). À 19 ans, il a créé un magazine sur les supporters de football avec deux amis, distribué partout en France en presse. Noël essaye de voyager un maximum et en profite toujours pour découvrir un nouveau stade lors de rencontres de football (plus de 100 au compteur).
Sixtine a grandi à Bruxelles avant d’intégrer Centrale Paris. Ses passages en agence puis en conseil en stratégie digitale lui ont permis d’assouvir sa passion pour l’intelligence artificielle. Elle a été la première ingénieure à rejoindre Possible Future, dans le but d’utiliser la technologie pour changer les choses à bon escient. Entre un TEDx sur l’astrophysique et quelques blagues sur Slack, elle créé des jeux de société pour ses 3000 cousins (no fake).
Denis nous vient tout droit de la Silicon Valley, où il a étudié l’Ingénierie Mécanique à Stanford avant de rejoindre Apple dans l’équipe de product design des derniers iPhones. Il voulait échapper à la bulle de tech en Californie et sauter dans l’inconnu, et donc il est venu ici à Paris de rejoindre l’équipe de Possible Future. Quand il n’apprend pas le Français, Denis est généralement en train de faire de la photographie, ou de rêver à comment rendre le monde meilleur.
Clément a des projets plein la tête et adore les réaliser. Partir en tour du monde à la rencontre des alumni HEC, lancer son propre restaurant de Pokés Bowls à Paris, ou bien se mettre à boursicoter sur la blockchain… Clément aime vibrer avec une idée et la lancer, quitte à voir ensuite si c’était pas une bêtise. Officiellement premier stagiaire de PF, Clément est revenu après ses études pour s’attaquer à l’immense défi non-résolu que représente l’association des grands groupes à un projet entrepreneurial. Pour ça et pour fonder le Honolulu Bureau et pouvoir surfer quand il veut.
Les Ripeurs du Bâtiment
Nous avons imaginé et testé un service de gestion et valorisation des déchets de chantiers pour les artisans du bâtiment qui a abouti au lancement d'une start-up : Les Ripeurs.
Avec un secteur de la rénovation du bâtiment en pleine évolution, le rôle de l’artisan se transforme : des clients finaux de plus en plus prescripteurs sur leurs chantiers, un besoin de conseil qui s’intensifie, des évolutions réglementaires à connaître, des usages digitaux qui s’installent… Pour l’enseigne La Plateforme du Bâtiment, cela amène à repenser l’accompagnement qu’ils proposent aux artisans. C’est ainsi que La Plateforme du Bâtiment nous a sollicités pour imaginer un nouveau service innovant, à destination de leur clientèle d’artisans.
Pendant notre phase d’exploration, nous avons identifié une frustration clé dans le parcours quotidien des artisans : la gestion des déchets de chantier.
Évacuer les gravats, nettoyer les chantiers, et apporter les sacs de gravats jusqu’à la déchèterie sont des tâches pénibles, chères, et chronophages pour les artisans, qui les empêchent de se concentrer sur leur coeur de métier. Certaines filières existent pour l’évacuation de ces gravats, mais elles ne sont pas toujours adaptées : peu flexibles, et peu adaptées aux contraintes des chantiers de rénovations urbains (des déchets en sacs à gravats, souvent dans les étages).
Les solutions existantes sont si peu satisfaisantes que les artisans se tournent vers des filières d’évacuation illégales : on estime que 40% des déchets du bâtiment finissent en décharge sauvage.
En s’appuyant sur cet insight, nous avons imaginé, prototypé et testé en conditions réelles le service Les Ripeurs. Un service d’évacuation des sacs de gravats pour les pros du bâtiments, ultra-flexible et ultra-réactif : intervention à la demande, en moins de 3h.
Après 4 mois de projet, nous avions ainsi :
A la fin de notre mission, nous décidons avec La Plateforme du Bâtiment de lancer ce service sous la forme d’une startup. 2 mois plus tard, la startup « Les Ripeurs » voit le jour et propose son service dans le réseau de distribution de La Plateforme du Bâtiment, à Paris et en petite couronne.
Pour sa première année d’activité, la startup a cumulé un chiffre d’affaires de 350k€,qui représentent 1700 tonnes de déchets collectés. 40 % de ces déchets ont pu être revalorisés. Preuve de son potentiel, l’incubateur Paris&Co l’a sélectionnée dans sa promotion 2018 Economie Sociale et Solidaire.
Nos ambitions ne s’arrêtent pas là ! En 2019, nous aimerions :
8
tonnes de déchetscollectées en 1 semaine par les Frenchies lors du test "in-vivo", pendant la phase de prototypage.
4:30
AML’heure à laquelle s’est levée l’équipe des Frenchies qui a évacué les gravats des premiers clients en phase de prototypage.
17
recrutementsen un an dans l’équipe des Ripeurs pour soutenir la croissance
600
clientsprincipalement des professionnels du bâtiment.
La Ressourcerie, un lieu pour soutenir les aidants
Nous avons imaginé, testé, lancé et co-animé la Ressourcerie avec Malakoff Humanis : un tiers-lieu communautaire pour soulager et soutenir les aidants.
C’est en janvier 2019 que la branche dédiée à l’action sociale de Malakoff Médéric Humanis sollicite Possible Future. La mission ? Challenger la réalité du soutien apporté aux individus qui assistent leurs proches non-autonomes dans leurs vies quotidiennes : les précieux « aidants ».
Cette problématique fait immédiatement écho à l’ADN de Possible Future puisqu’elle s’oriente très logiquement vers le développement d’un projet à impact social positif.
Concrètement, l’organisation souhaite donner de la visibilité à ses nombreux services d’accompagnement psycho-social, souvent méconnus. Un second enjeu de taille vient rapidement étoffer le brief initial : toucher un vaste public qui ne se reconnait pas toujours derrière le dénominateur « aidant ». Les bienfaiteurs et bienfaitrices du quotidien de beaucoup d’enfants, d’adultes et d’anciens en situation de handicap ou de perte d’autonomie estiment souvent accomplir un devoir découlant naturellement d’un lien filial ou marital.
Dès le 22 janvier 2019, brief en main, Possible Future ouvre une phase de 2 mois d’exploration et de conceptualisation. Réunir quelques représentants Malakoff Médéric Humanis et un panel de 15 aidants volontaires permet rapidement à nos équipes d’orienter le prototypage du projet, et de définir l’offre de valeur en co-création avec ses utilisateurs cibles, aidants et non-aidants.
Aux ateliers dédiés à l’expression des services à implémenter, à la définition du positionnement du projet final, succèdent des workshops de maquettage des futurs espaces qui donneront corps au concept.
Nos équipes se sont aussi penchées sur la question du modèle économique à même de garantir la viabilité d’un accompagnement social innovant comme celui-là. La piste privilégiée par Possible Future devient vite celle du cofinancement : un lieu d’accompagnement, qui rassemble plusieurs acteurs et également différentes sources de revenus.
À la demande du client, nos équipes proposent également une méthode pour évaluer la pertinence et l’impact des différentes composantes de l’offre. Une grille d’évaluation avec plus de 40 critères quantitatifs, et des entretiens avec les chargés d’action sociale, permettent de mesurer tout au long de l’expérimentation l’impact réel du projet, et de justifier sa raison d’être.
Cet espace chaleureux, accessible à tous, a ouvert ses portes le 1er avril 2019 au cœur de Bordeaux, 2 mois à peine après le lancement du chantier chez Possible Future.
Ici, pas de bureaux angoissants, d’accueil stigmatisant, ni de décoration d’un autre
temps… Le lieu n’est d’ailleurs pas réservé aux seuls aidants ! La Ressourcerie est ouverte à tous. C’est un lieu apaisant, rythmé par un calendrier d’activités proposant balades, ateliers, relaxation, activités artistiques… et où il fait bon venir boire un café, lire, discuter, se reposer et penser à autre chose.
En cas de besoin, les hôtes de la Ressourcerie peuvent également compter sur l’aide d’un spécialiste de l’action sociale, sensibilisé à la charge psychologique particulière à laquelle ils doivent faire face.
Les 3 premiers mois d’ouverture permettent de tester le fonctionnement, l’offre de service, et le modèle économique du lieu. Les différentes hypothèses sont successivement mises à l’épreuve du terrain, pendant des « sprints » d’une semaine. L’occasion de vérifier rapidement l’efficacité d’un canal de communication, d’une formule d’abonnement aux activités, de la mise à disposition du lieu en soirée, etc.
Et ensuite ?
On espère bien voir les Ressourceries se multiplier dans d’autres villes françaises ! En attendant, si vous passez par Bordeaux, venez nous rendre visite :).
2
moisC’est le temps écoulé entre le brief initial et l’ouverture de la première version de la Ressourcerie à Bordeaux.
90
m2La surface totale de ce tiers-lieu, qui contient plusieurs espaces de vie.
11
millionsd'aidants en France, dont 64% qui ne se reconnaissent pas comme tel.
La compensation carbone directe, traçable et locale
Nous accompagnons la start-up Inuk : un service pour compenser son empreinte carbone de façon directe, traçable, locale et impactante.
Accompagner le développement de la start-up du premier POC au succès commercial.
2
contrats signés pendant les 2 premiers mois d'accompagnement
B-Corp
introduction à la communautéet soutien pour l'accès au réseau