Paul a étudié à Olivier de Serres, l’Ecole Boulle et l’ENSCI en travaillant en parallèle chez EDF sur l’innovation par le design au sein de la R&D. Il définit son métier comme le fait de concevoir et réaliser des produits ou services innovants, qui proposent des usages plus intéressants, un rapport différent au monde et vont dans le sens d’une utilisation plus raisonnable des ressources. Passionné de skateboard, il a entre autres projets persos, imaginé et réalisé un skatepark collaboratif, dessiné par et pour les skaters de Paris, qui a été installé à la Cité de la Mode et du Design.
Sixtine a grandi à Bruxelles avant d’intégrer Centrale Paris. Ses passages en agence puis en conseil en stratégie digitale lui ont permis d’assouvir sa passion pour l’intelligence artificielle. Elle a été la première ingénieure à rejoindre Possible Future, dans le but d’utiliser la technologie pour changer les choses à bon escient. Entre un TEDx sur l’astrophysique et quelques blagues sur Slack, elle créé des jeux de société pour ses 3000 cousins (no fake).
Milan a rejoint Possible Future pour confronter ses compétences de designer et son envie d’un monde plus juste aux problématiques des grandes entreprises. Avant cela, il a eu l’occasion de voyager au Liban pour travailler sur l’isolation thermique dans les camps de réfugiés syriens, de travailler en stage sur un projet de stratégie sur la mobilité électrique chez Les Sismo, mais aussi de faire Munich-Braşov (Roumanie) en vélo avec deux amis. Sa devise : « Make good stuff, do not harm, and keep it simple. »
Originaire de Marseille, FX a failli s’engager à 17 ans dans une carrière de handballeur pro dans un club de sa région… mais a finalement opté pour la voie des sciences et de la prépa. Il a ensuite intégré CentraleSupélec, et a complété sa formation d’ingénieur avec un double-diplôme à l’ESCP. Passionné par le secteur de l’énergie, FX a notamment travaillé chez Origins.earth, startup interne de Suez qui vise à mesurer les émissions de CO2 à une maille fine grâce à une technologie mêlant satellites et capteurs.
Alexandra est passée par Science Po Paris, où elle a développé un regard orienté politique et régulation. Après des expériences en startup, cabinet d’avocat et à la Direction Innovation d’un grand opérateur de transports, elle a rejoint Possible Future pour combiner ses intérêts pour la deeptech et pour l’économie positive. En parallèle de Possible Future, Alexandra adore lire, voyager, les espaces aquatiques et la mythologie. Elle rêve d’explorer l’espace, de repenser les systèmes éducatifs grâce à la technologie et de redessiner les frontières sur les cartes du monde.
Axel est senior science lead. Ingénieur en nutrition et titulaire d’un doctorat en sciences du comportement, il est passionné par tout ce qui touche à notre alimentation. Dans tous ses projets, il est animé par la volonté d’accompagner les consommateurs dans leur quête du “mieux manger”, convaincu qu’il s’agit d’une formidable opportunité d’innovation pour le secteur. Avant de rejoindre Possible Future, Axel a travaillé dans la recherche académique et dans une agence de communication, ce qui lui a permis d’acquérir une vision multidisciplinaire nécessaire pour relever les défis actuels de l’industrie alimentaire et des boissons.
Faten a eu une première vie dans le droit international public, après des études à l’American University de Washington, avant de se passionner pour le marketing digital, qu’elle explore pendant 7 ans au sein de grands groupes Français (L’Oréal, Danone). Cette nouvelle discipline convient bien à cette curieuse touche-à-tout, geekette passionnée d’objets connectés, vadrouilleuse au bagage international, deux fois boursière du département d’Etat américain. Sa diversité de parcours, de pays, de langues en font une diplomate naturelle que ses amis appellent “l’ONU”.
Ingénieure des Mines de Paris, passée par les cabinets de conseils en stratégie, Elsa est chez Possible Future à l’interface entre les sujets business et techniques/scientifiques. Elle aime se lancer dans des projets qui ne sont pas tracés, le genre de projets qu’on aborde en pensant : « je n’ai aucune idée de comment faire, mais on va le faire ! » Franco-allemande, Elsa a longtemps vécu en Allemagne avant de rentrer en France pour y faire ses études … et y rester ! En dehors du travail, Elsa adore le sport : handball, surf l’été et ski l’hiver.
Jules est diplômé de l’Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay et de Centrale Paris. Pour lui une technologie n’est élégante que si elle sait se faire oublier au bénéfice d’un usage clair. Après un passage dans une startup qui conçoit des objets pour améliorer le quotidien des seniors, il rejoint un équipementier automobile pour développer des projets sur nos futurs besoins de mobilité. Entre deux projets, Jules dépense son énergie en faisant du vélo. A trois ans il faisait le tour de l’Ile d’Yeu et maintenant il rêve de traverser un continent.
Mathilda a une passion pour les humains (consommateurs, utilisateurs, citoyens, amis, famille…) : ce qui les motive, ce qui les influence, ce qui les émeut, ce qui les lie. Elle a un intérêt particulier pour l’impact des nouvelles technologies sur les individus et la société. Mathilda a toujours voulu faire du Planning Strat, mais elle voulait aussi voir ses idées se concrétiser, ce qui l’a conduit chez Possible Future après un passage en agences créatives (BETC, DDB). Diplômée de Sciences Po et Telecom Paris Tech, elle est originaire de Marseille, d’où elle tire sa joie de vivre !
Guillaume est devenu designer parce qu’il aime découvrir de nouvelles choses et être challengé sur sa capacité à apprendre vite. C’est à Olivier de Serres puis dans les ateliers de l’ENSCI qu’il s’est passionné pour le mouvement des makers, en expérimentant avec son imprimante 3D ! Avant de rejoindre Possible Future, Guillaume a passé 2 ans en recherche et innovation au sein de Valeo et a accompagné divers projets pour l’accélérateur de l’École Polytechnique. Touche à tout en musique, on le surnomme human jukebox, mais il pourra aussi vous faire découvrir la poterie.
Paul est le deuxième employé de Possible Future. Formé à Science Po Paris, il commence sa carrière côté annonceur chez L’Oréal en développement produit, puis côté agence chez BETC Digital, en new business. Sa curiosité, son goût du risque et son envie de lancer des projets concrets le poussent à participer à l’aventure Possible Future. Paul est un serial doodler et couvre des feuilles et des feuilles de dessins ésotériques au bureau, une pratique qui devient intéressante quand il s’agit d’illustrer de nouvelles idées. Son animal fétiche est le paresseux (“mystérieux et calme”).
Giulia est italienne (même si ça ne s’entend presque pas). Plutôt que voyager, Giulia préfère s’installer régulièrement à l’étranger et apprendre le slang local. Ainsi, Giulia a fait ses études de design entre Paris, Glasgow et Milan, puis a travaillé à Milan dans un studio de design, à Herzogenaurach pour Adidas, et maintenant de retour à Paris pour Possible Future où elle porte sa vision du design auprès de l’équipe et de nos clients. Petite astuce si vous souhaitez rencontrer Giulia : il suffit de vous rendre à un événement Sud-américain à Paris… elle n’en manque pas un !
Charlotte veut créer des innovations qui ont du sens et impacter positivement le monde de demain. Auparavant, elle avait parfait ses super pouvoirs 6 ans chez Google Paris, où elle a crée son propre job de « Innovation Lead » et à la Singularity University sur le campus de la NASA où avec 80 personnes de 40 pays elle a tenté de répondre à la question : « Comment impacter positivement 1 milliard de personnes à travers la technologie ? ». A ses heures perdues, Charlotte a chanté dans un groupe de rock, une comédie musicale, une chorale gospel et s’essaie aujourd’hui au ukulélé.
En plus d’être curieux et enthousiaste à l’idée d’aborder des nouveaux sujets, Ousmane veut mener des projets concrets qui ont un impact sur la société. D’ailleurs, après ses études à SciencesPo, il s’est tourné vers le service public en tant que référent Economie Circulaire à la région Île-de-France, où il a instruit pendant 2 ans et demi des demandes de subventions publiques à l’innovation et la croissance. Chez Possible Future, il souhaite continuer à approfondir les sujets d’impact et va multiplier les projets à impact social ou en lien avec l’économie circulaire.
Parce qu’il voulait sortir des tiroirs les concepts qu’il créait, Pierre-Louis a rejoint Possible Future dans l’espoir de lancer des innovations utiles pour les utilisateurs. Après ses études à Strate, un master en business et un passage au département innovation de Quechua, il s’est envolé aux Etats-Unis pendant deux ans pour travailler chez Bresslergroup puis chez Smart Design. Chez Possible Future le jour, illustrateur la nuit, il est passionné de BD et en réalise lui-même. Son rêve ? Pouvoir sauver les baleines sans sacrifier sa longue douche matinale.
Sorte d’hybride de planneur strat et de designer industriel, Marion a fait ses études au CELSA puis à l’ENSCI. Elle est passée par le planning d’agences comme Ogilvy&Mather, Landor en branding, et par des villes comme Cape Town, Dakar, ou San Francisco. Elle a rejoint Possible Future pour enfin avoir ses deux casquettes sur la tête, et pour donner vie à des projets plus responsables que des campagnes de pub. A côté de sa passion pour les bécanes collector des années 1970, elle a récemment développé un projet de bioplastique à base de lait impropre à la consommation.
Avant de nous rejoindre, Noël a collaboré pendant près de 10 ans avec de nombreuses agences et startups (Deezer, Viadeo, Lunchr, BlaBlaCar etc.) en tant que Designer UX/UI. Il a d’ailleurs sorti son premier site internet à 12 ans (même si on parlait plutôt de page web à l’époque). À 19 ans, il a créé un magazine sur les supporters de football avec deux amis, distribué partout en France en presse. Noël essaye de voyager un maximum et en profite toujours pour découvrir un nouveau stade lors de rencontres de football (plus de 100 au compteur).
Elle pourrait écrire « serial entrepreneuse » sur son LinkedIn mais elle n’ose pas. Claire a lancé plusieurs projets entrepreneuriaux, entre une appli pour faciliter l’accès aux soins médicaux au Cambodge, un nouveau concept d’audioprothèses pour les malentendants et une startup de réemploi de matériaux industriels usagés. Elle a rejoint Possible Future pour en lancer encore plus ! Elle dédie son temps libre à la boxe thaï, qu’elle pratique quasi-quotidiennement, et à sa passion pour le kite-surf, qui lui donne envie de déménager pour toujours en Baie de Somme.
Léo est un designer engagé pour la réduction de l’empreinte environnemental des entreprises. Diplômé de la HEAD de Genève en sculpture et de l’ENSCI en design industriel, il est très attaché au contact avec le réel. Il a ainsi déjà travaillé sur le terrain en tant qu’ouvrier dans une des plus grandes usines du monde, a collaboré avec les Compagnons du devoir ou des grandes entreprises comme Hermès. Inspiré par le mouvement low-tech, il défend un mode de vie plus simple, recentré sur l’essentiel. Il est par ailleurs passionné de musique, qu’il pratique assidument en tant que multi-instrumentiste.
Le parcours de Léa ressemble à la construction d’un pont entre le monde des sciences sociales et celui du design. En parallèle d’un double-diplôme Sciences Po/Strate, elle a lancé un média de tendances pour un studio de design et imaginé des modèles physique inspirés de la ville de New York dans un studio d’architecture à Columbia. Chez Possible Future, elle défend une vision du planning stratégique à la croisée du design, de l’anthropologie, de la sociologie et de la sémiotique. Elle dédie son temps libre à sa passion pour la cartographie, pensez-y pour votre prochain voyage.
Formée en design industriel à l’ENSCI-Les Ateliers et à la Parsons the New School for Design de New York, Ines s’est spécialisée dans l’entrepreneuriat social à l’ESCP à Madrid. Après avoir travaillé comme designer intégré chez Carrefour puis en agence sur des sujets allant de la logistique de transport urbain à la scénographie d’exposition, elle a rejoint Possible Future pour pouvoir identifier les problèmes très en amont et concevoir des solutions dans le détail. Elle cherche à faire exister des futurs souhaitables ce qui s’explique peut-être par sa passion pour…la divination.
Joséphine appréhende le monde qui l’entoure avec ses mains. C’est pour cultiver son attrait pour la création et assouvir sa curiosité pour la technique qu’elle a suivi le cursus pionnier de l’Imperial College de Londres en Design Engineering, où elle a appris à la fois la mécanique des fluides, l’ethnographie en design ou la robotique et même la charpenterie. Après un passage à New York en conception de produits et un saut à Munich dans une start-up d’additive manufacturing, elle a rejoint Possible Future pour créer… et pour importer en France sa passion pour le hockey !