Paul est le deuxième employé de Possible Future. Formé à Science Po Paris, il commence sa carrière côté annonceur chez L’Oréal en développement produit, puis côté agence chez BETC Digital, en new business. Sa curiosité, son goût du risque et son envie de lancer des projets concrets le poussent à participer à l’aventure Possible Future. Paul est un serial doodler et couvre des feuilles et des feuilles de dessins ésotériques au bureau, une pratique qui devient intéressante quand il s’agit d’illustrer de nouvelles idées. Son animal fétiche est le paresseux (“mystérieux et calme”).
Après un bac L puis l’obtention du concours de médecine dès la première année… c’est finalement à l’ENSCI que Clara trouve sa voie avec notamment un passage en bi-cursus par la majeure entrepreneuriat de l’ESCP ! Curieuse et passionnée par l’humain, Clara veut donner du sens à son travail, et est persuadée que le métier de designer va devoir se réinventer. C’est pourquoi elle rejoint Possible Future, après des expériences en agence de design à Londres et à Munich et un passage par l’Experience Center de PwC. En dehors du travail, Clara est une collectionneuse invétérée de tout type d’objet qu’elle trouve original ou insolite.
Johanna a étudié le design industriel à l’ENSCI. Avant d’arriver chez Possible Future, elle était couteau-suisse dans une marque de maroquinerie de luxe : designer, styliste et chef de produit. Elle a aussi accompagné des amis dans la conception de leur café-librairie (La Régulière). Possible Future, c’était un saut dans le vide et l’occasion d’apprendre de nouvelles choses, de sans cesse réévaluer ce qu’on croit savoir. Son motto ? « Quand je suis de mauvaise humeur, j’arrête d’être de mauvaise humeur ». Sa joie de vivre et son talent incroyable pour les mimes font donc chaque jour le bonheur de ses collègues.
Jules est diplômé de l’Ecole Normale Supérieure de Paris-Saclay et de Centrale Paris. Pour lui une technologie n’est élégante que si elle sait se faire oublier au bénéfice d’un usage clair. Après un passage dans une startup qui conçoit des objets pour améliorer le quotidien des seniors, il rejoint un équipementier automobile pour développer des projets sur nos futurs besoins de mobilité. Entre deux projets, Jules dépense son énergie en faisant du vélo. A trois ans il faisait le tour de l’Ile d’Yeu et maintenant il rêve de traverser un continent.
Parce qu’il voulait sortir des tiroirs les concepts qu’il créait, Pierre-Louis a rejoint Possible Future dans l’espoir de lancer des innovations utiles pour les utilisateurs. Après ses études à Strate, un master en business et un passage au département innovation de Quechua, il s’est envolé aux Etats-Unis pendant deux ans pour travailler chez Bresslergroup puis chez Smart Design. Chez Possible Future le jour, illustrateur la nuit, il est passionné de BD et en réalise lui-même. Son rêve ? Pouvoir sauver les baleines sans sacrifier sa longue douche matinale.
Alexandra est passée par Science Po Paris, où elle a développé un regard orienté politique et régulation. Après des expériences en startup, cabinet d’avocat et à la Direction Innovation d’un grand opérateur de transports, elle a rejoint Possible Future pour combiner ses intérêts pour la deeptech et pour l’économie positive. En parallèle de Possible Future, Alexandra adore lire, voyager, les espaces aquatiques et la mythologie. Elle rêve d’explorer l’espace, de repenser les systèmes éducatifs grâce à la technologie et de redessiner les frontières sur les cartes du monde.
Faten a eu une première vie dans le droit international public, après des études à l’American University de Washington, avant de se passionner pour le marketing digital, qu’elle explore pendant 7 ans au sein de grands groupes Français (L’Oréal, Danone). Cette nouvelle discipline convient bien à cette curieuse touche-à-tout, geekette passionnée d’objets connectés, vadrouilleuse au bagage international, deux fois boursière du département d’Etat américain. Sa diversité de parcours, de pays, de langues en font une diplomate naturelle que ses amis appellent “l’ONU”.
Clint est un véritable citoyen du monde. Il a eu la chance de vivre dans de nombreux pays, dont l’Australie, le Vanuatu ou le Canada. Après un passage en banque privée, il diplôme du Master Innovation & Entrepreneuriat d’ESADE en Espagne, qu’il complémente avec un Master en Design Management à l’Université de Aalto en Finlande. Clint souhaite réduire les impacts négatifs sur l’environnement, lié à sa passion pour les sports en pleine nature comme le surf ou le ski. Il a rejoint Possible Future pour travailler sur des projets à la fois innovants et à impact positif.
Giulia est italienne (même si ça ne s’entend presque pas). Plutôt que voyager, Giulia préfère s’installer régulièrement à l’étranger et apprendre le slang local. Ainsi, Giulia a fait ses études de design entre Paris, Glasgow et Milan, puis a travaillé à Milan dans un studio de design, à Herzogenaurach pour Adidas, et maintenant de retour à Paris pour Possible Future où elle porte sa vision du design auprès de l’équipe et de nos clients. Petite astuce si vous souhaitez rencontrer Giulia : il suffit de vous rendre à un événement Sud-américain à Paris… elle n’en manque pas un !
Ingénieur diplômé d’AgroParisTech, où il se spécialise en biotechnologies, Guillaume passe ensuite 4 ans à développer ‘Hello Tomorrow’, une association (et un superbe événement annuel) avec la mission de sélectionner et promouvoir les startups « deep-techs » les plus prometteuses mondialement. Après avoir regardé des gens brillants inventer des solutions pour construire le monde de demain, il décide de faire partie de l’aventure en rejoignant Possible Future, où il aimerait développer de nouvelles solutions dans le secteur des transports et de l’environnement.
Ingénieure des Mines de Paris, passée par les cabinets de conseils en stratégie, Elsa est chez Possible Future à l’interface entre les sujets business et techniques/scientifiques. Elle aime se lancer dans des projets qui ne sont pas tracés, le genre de projets qu’on aborde en pensant : « je n’ai aucune idée de comment faire, mais on va le faire ! » Franco-allemande, Elsa a longtemps vécu en Allemagne avant de rentrer en France pour y faire ses études … et y rester ! En dehors du travail, Elsa adore le sport : handball, surf l’été et ski l’hiver.
Elle pourrait écrire « serial entrepreneuse » sur son LinkedIn mais elle n’ose pas. Claire a lancé plusieurs projets entrepreneuriaux, entre une appli pour faciliter l’accès aux soins médicaux au Cambodge, un nouveau concept d’audioprothèses pour les malentendants et une startup de réemploi de matériaux industriels usagés. Elle a rejoint Possible Future pour en lancer encore plus ! Elle dédie son temps libre à la boxe thaï, qu’elle pratique quasi-quotidiennement, et à sa passion pour le kite-surf, qui lui donne envie de déménager pour toujours en Baie de Somme.
Paul a étudié à Olivier de Serres, l’Ecole Boulle et l’ENSCI en travaillant en parallèle chez EDF sur l’innovation par le design au sein de la R&D. Il définit son métier comme le fait de concevoir et réaliser des produits ou services innovants, qui proposent des usages plus intéressants, un rapport différent au monde et vont dans le sens d’une utilisation plus raisonnable des ressources. Passionné de skateboard, il a entre autres projets persos, imaginé et réalisé un skatepark collaboratif, dessiné par et pour les skaters de Paris, qui a été installé à la Cité de la Mode et du Design.
Diplômé de Sciences Po Paris, Alexis a rejoint Possible Future pour concilier le “penser” et le “faire”. Il est passionné par les innovations qui construisent un modèle durable pour notre futur, comme l’économie circulaire, les communs et les monnaies locales. Entre un wwoofing en Colombie pour apprendre la permaculture et le tournage d’un court-métrage dans une ludothèque au Pérou, il a travaillé dans un think tank sur la blockchain et la civic tech et mené divers projet en communication numérique.
Le 3e Alexis de Possible Future (mais le premier Alexis ingénieur !), celui qu’on a vite surnommé Bartouilh passe par Centrale Paris avant d’intégrer le conseil en stratégie digitale pour développer le luxe à l’international. Piqué d’envie d’ailleurs, il s’envole pour San Francisco pour tâter de la startup et surfer les vagues de Californie. Compétiteur aguerri, Alexis a besoin de défis. Après des années de squash, il se lance dans la course à pied et termine directement 5e d’un 50Km. Bartouilh est un fervent défenseur de la technologie utile : ne mettre de la technologie que là où elle fait sens.
Léo est un designer engagé pour la réduction de l’empreinte environnemental des entreprises. Diplômé de la HEAD de Genève en sculpture et de l’ENSCI en design industriel, il est très attaché au contact avec le réel. Il a ainsi déjà travaillé sur le terrain en tant qu’ouvrier dans une des plus grandes usines du monde, a collaboré avec les Compagnons du devoir ou des grandes entreprises comme Hermès. Inspiré par le mouvement low-tech, il défend un mode de vie plus simple, recentré sur l’essentiel. Il est par ailleurs passionné de musique, qu’il pratique assidument en tant que multi-instrumentiste.
Mathilda a une passion pour les humains (consommateurs, utilisateurs, citoyens, amis, famille…) : ce qui les motive, ce qui les influence, ce qui les émeut, ce qui les lie. Elle a un intérêt particulier pour l’impact des nouvelles technologies sur les individus et la société. Mathilda a toujours voulu faire du Planning Strat, mais elle voulait aussi voir ses idées se concrétiser, ce qui l’a conduit chez Possible Future après un passage en agences créatives (BETC, DDB). Diplômée de Sciences Po et Telecom Paris Tech, elle est originaire de Marseille, d’où elle tire sa joie de vivre !
Sorte d’hybride de planneur strat et de designer industriel, Marion a fait ses études au CELSA puis à l’ENSCI. Elle est passée par le planning d’agences comme Ogilvy&Mather, Landor en branding, et par des villes comme Cape Town, Dakar, ou San Francisco. Elle a rejoint Possible Future pour enfin avoir ses deux casquettes sur la tête, et pour donner vie à des projets plus responsables que des campagnes de pub. A côté de sa passion pour les bécanes collector des années 1970, elle a récemment développé un projet de bioplastique à base de lait impropre à la consommation.
Avant de nous rejoindre, Noël a collaboré pendant près de 10 ans avec de nombreuses agences et startups (Deezer, Viadeo, Lunchr, BlaBlaCar etc.) en tant que Designer UX/UI. Il a d’ailleurs sorti son premier site internet à 12 ans (même si on parlait plutôt de page web à l’époque). À 19 ans, il a créé un magazine sur les supporters de football avec deux amis, distribué partout en France en presse. Noël essaye de voyager un maximum et en profite toujours pour découvrir un nouveau stade lors de rencontres de football (plus de 100 au compteur).
En plus d’être curieux et enthousiaste à l’idée d’aborder des nouveaux sujets, Ousmane veut mener des projets concrets qui ont un impact sur la société. D’ailleurs, après ses études à SciencesPo, il s’est tourné vers le service public en tant que référent Economie Circulaire à la région Île-de-France, où il a instruit pendant 2 ans et demi des demandes de subventions publiques à l’innovation et la croissance. Chez Possible Future, il souhaite continuer à approfondir les sujets d’impact et va multiplier les projets à impact social ou en lien avec l’économie circulaire.
Ariane a enchaîné une école d’ingénieur avec 5 ans de conseil en stratégie digitale, d’où elle tire son super-pouvoir: trouver les meilleurs business models pour rendre viable nos projets de start-ups. Chez Possible Future, elle aime l’exigence intellectuelle et opérationnelle, aller de l’analyse stratégique à l’exécution d’une solution. Pendant ses vacances, Ariane se transforme en baroudeuse: 15 jours à explorer l’Iran et le Turkménistan seule en logeant chez l’habitant, une semaine au Pole Nord. Une journée de vent? Vous la trouverez sur les plages du nord entre deux sessions de kitesurf.
Sixtine a grandi à Bruxelles avant d’intégrer Centrale Paris. Ses passages en agence puis en conseil en stratégie digitale lui ont permis d’assouvir sa passion pour l’intelligence artificielle. Elle a été la première ingénieure à rejoindre Possible Future, dans le but d’utiliser la technologie pour changer les choses à bon escient. Entre un TEDx sur l’astrophysique et quelques blagues sur Slack, elle créé des jeux de société pour ses 3000 cousins (no fake).
Guillaume est devenu designer parce qu’il aime découvrir de nouvelles choses et être challengé sur sa capacité à apprendre vite. C’est à Olivier de Serres puis dans les ateliers de l’ENSCI qu’il s’est passionné pour le mouvement des makers, en expérimentant avec son imprimante 3D ! Avant de rejoindre Possible Future, Guillaume a passé 2 ans en recherche et innovation au sein de Valeo et a accompagné divers projets pour l’accélérateur de l’École Polytechnique. Touche à tout en musique, on le surnomme human jukebox, mais il pourra aussi vous faire découvrir la poterie.
Joséphine appréhende le monde qui l’entoure avec ses mains. C’est pour cultiver son attrait pour la création et assouvir sa curiosité pour la technique qu’elle a suivi le cursus pionnier de l’Imperial College de Londres en Design Engineering, où elle a appris à la fois la mécanique des fluides, l’ethnographie en design ou la robotique et même la charpenterie. Après un passage à New York en conception de produits et un saut à Munich dans une start-up d’additive manufacturing, elle a rejoint Possible Future pour créer… et pour importer en France sa passion pour le hockey !
Charlotte veut créer des innovations qui ont du sens et impacter positivement le monde de demain. Auparavant, elle avait parfait ses super pouvoirs 6 ans chez Google Paris, où elle a crée son propre job de « Innovation Lead » et à la Singularity University sur le campus de la NASA où avec 80 personnes de 40 pays elle a tenté de répondre à la question : « Comment impacter positivement 1 milliard de personnes à travers la technologie ? ». A ses heures perdues, Charlotte a chanté dans un groupe de rock, une comédie musicale, une chorale gospel et s’essaie aujourd’hui au ukulélé.
Le parcours de Léa ressemble à la construction d’un pont entre le monde des sciences sociales et celui du design. En parallèle d’un double-diplôme Sciences Po/Strate, elle a lancé un média de tendances pour un studio de design et imaginé des modèles physique inspirés de la ville de New York dans un studio d’architecture à Columbia. Chez Possible Future, elle défend une vision du planning stratégique à la croisée du design, de l’anthropologie, de la sociologie et de la sémiotique. Elle dédie son temps libre à sa passion pour la cartographie, pensez-y pour votre prochain voyage.
Milan a rejoint Possible Future pour confronter ses compétences de designer et son envie d’un monde plus juste aux problématiques des grandes entreprises. Avant cela, il a eu l’occasion de voyager au Liban pour travailler sur l’isolation thermique dans les camps de réfugiés syriens, de travailler en stage sur un projet de stratégie sur la mobilité électrique chez Les Sismo, mais aussi de faire Munich-Braşov (Roumanie) en vélo avec deux amis. Sa devise : « Make good stuff, do not harm, and keep it simple. »
Diplômée d’AgroParisTech et ChimieParisTech, Constance est notre experte chimiste, au service de la transition écologique des industries agroalimentaire et cosmétique. Ses expériences en institut de recherche à Melbourne et en conception de produits l’ont rendu incollable sur la fusion trienzymatique, le suivi cinétique par spectroscopie ou encore la bioconjugaison par chromatographie d’exclusion stérique. Vous n’avez rien compris ? Ce n’est pas fini. Constance pratique le horse-ball, un genre de Quidditch, « un sport impressionnant qui gagnerait à être connu ». You bet!
Formée en design industriel à l’ENSCI-Les Ateliers et à la Parsons the New School for Design de New York, Ines s’est spécialisée dans l’entrepreneuriat social à l’ESCP à Madrid. Après avoir travaillé comme designer intégré chez Carrefour puis en agence sur des sujets allant de la logistique de transport urbain à la scénographie d’exposition, elle a rejoint Possible Future pour pouvoir identifier les problèmes très en amont et concevoir des solutions dans le détail. Elle cherche à faire exister des futurs souhaitables ce qui s’explique peut-être par sa passion pour…la divination.
Axel est ingénieur & docteur AgroParisTech spécialisé en nutrition. La nourriture tient une place centrale dans sa vie, et pas seulement au moment des repas, puisqu’avant de rejoindre Possible Future il a participé à la conception de programmes d’éducation à une alimentation équilibrée dans les collèges, ainsi qu’à des modules de formation à la nutrition pour Danone. Axel a également travaillé 4 ans dans une agence de communication sur des sujets en lien avec l’alimentation, la santé et le bien-être. Pour dépenser ses calories, Axel aime pratiquer la capoeira qu’il a appris au Brésil.
Alumni de l’ENSCI mais toujours Gadzarts dans l’âme, Arnaud se définit comme ingénieur-designer. Après avoir travaillé sur l’intégration du design dans des entreprises issues de différents domaines comme le luxe, l’électronique ou le bâtiment, cette double-compétence lui permet chez Possible Future d’apporter un regard singulier sur les projets. A ses heures perdues, des punchlines de Booba lui échappent sans même qu’il ne s’en rende compte.
Thomas a passé 16 ans dans des cabinets de conseil (américain, indien et français) sur des projets de transformation digitale de grandes entreprises avant de rejoindre la boîte de ses rêves: un endroit où l’on pense et où l’on fait, avec l’ambition d’un impact positif sur l’économie et des gens brillants et bienveillants – surtout un endroit qui lui procurerait les 2h de rires dont il a besoin chaque jour. Thomas applique la méthodologie même à la maison, où il s’impose de systématiquement tester tout ce qu’il propose à ses deux jeunes enfants (aliment, activité, jeu, sport).
Originaire de Marseille, FX a failli s’engager à 17 ans dans une carrière de handballeur pro dans un club de sa région… mais a finalement opté pour la voie des sciences et de la prépa. Il a ensuite intégré CentraleSupélec, et a complété sa formation d’ingénieur avec un double-diplôme à l’ESCP. Passionné par le secteur de l’énergie, FX a notamment travaillé chez Origins.earth, startup interne de Suez qui vise à mesurer les émissions de CO2 à une maille fine grâce à une technologie mêlant satellites et capteurs.